Histoires de couches : Lillydoo

Couches Lillydoo

Couches Lillydoo _ crédit illustration TheBlackCatPaperie

 

 

Tous les parents connaissent cet instant. Cet instant de doute, d’angoisse, d’attente fébrile. Quand l’odeur est là, prenante, qu’elle se répand tel un virus mortel dans l’atmosphère. Parfois, bébé pleure, donnant avec courtoisie le signal : il faut me changer. D’autres fois, il ne dit rien. Prétend que rien ne s’est passé. Mais l’odeur ne trompe pas. L’odeur ne trompe jamais. 

 

Cette odeur peut envahir votre appareil respiratoire à n’importe quel moment. Car bébé se moque bien que vous soyez chez des amis un peu chics, au musée ou en balade en forêt. Ce n’est pas son problème. Il arrive que l’odeur ne se manifeste pas immédiatement, car d’autres parfums (embruns marins, bouffées de lavande, pluie d’été sur le bitume) la masquent provisoirement. Piège. Car, derrière la petite robe liberty, le petit short en coton bio, derrière le body et la couche supposée ultra-absorbante, le mal stagne, croupitpuis durcit tel un diabolique ciment, importé directement du Tartare. 

 

Pour le parent consciencieux, pas le temps de gamberger : il faut agir, et vite. Endiguer la macération du solide, dont vous ignorez encore les propriétés – étendue, couleur, consistance. La plupart du temps, vous trouverez assez facilement un endroit où changer bébé : toilettes, chambre d’ami, plage arrière de la voiture… Cependant, il se peut également qu’il n’y ait autour de vous aucun endroit approprié. Par exemple, il m’est arrivé de devoir changer ma fille sur le trottoir. Il pleuvait à moitié, je m’étais abrité sous le store d’un magasin fermé. De vous à moi : bébé se moque bien de l’endroit où vous le changer. Ce qu’il veut, c’est avoir les fesses propres, point. 

 

Ouvrir une couche, c’est un peu comme ouvrir la petite boite jaune d’un Kinder surprise. A la différence près qu’on espère le plus petit cadeau possible. Après 9 mois  à torcher le popotin de ma fille, j’en suis arrivé à la conclusion que son imagination était réellement sans limite. Caca dur, caca mou, caca explosif ou caca compact, caca couleur arc-en-ciel, un archéologue spécialisé en matière fécale trouverait dans les couches d’un bébé de quoi investiguer jusqu’à la fin de sa vie. 

 

Partant de ce constat, il était vital, pour ma femme et moi, de ne pas nous tromper dans notre choix de couches. Ayant lu beaucoup d’avis positifs sur cette marque, nous avons opté dès le début pour les Lillydoo. Et ne l’avons jamais regretté. Aucun débordement à signaler, les productions malodorantes de ma fille sont toujours restées là où elles devaient être. Aucun problème d’allergie ou d’érythème fessier non plus, ce qui n’était pas gagné étant donné la peau sensible de sa mère. Enfin, elles sont livrées sur le pas de votre porte, et, lorsque bébé change de taille, vous pouvez renvoyer les anciennes aussi facilement qu’une commande Assos. Donc Papa plume dit oui aux couches Lillydoo ! 

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