mars 12, 2019
« Dans mes bras, ton corps amolli, De sommeil, ma jolie. Un lion, une tornade, une guerre, Notre étreinte, ne sauraient défaire. »
Avant, je n’avais pas besoin de nourrir mon réveil. Il était sous perf, branché à sa prise de courant. Et je n’avais pas non plus besoin de le changer, c’était un compagnon très propre.
Ça te dit le bus ?
Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *
Commentaire *
Name *
Email *
Website
Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire.
Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail.
Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail.
Δ
This site uses Akismet to reduce spam. Learn how your comment data is processed.
Leave a reply